Le 6 juillet 2011, le conseil municipal était invité à approuver une Charte éthique pour la vidéo-surveillance. Tout en prenant acte de cet effort de codification du recours à cette pratique, j’ai déploré que celle-ci soit encore abusivement présentée comme une vidéo-protection et refusé de cautionner, en participant à ce vote, une pratique que nous contestons.